Aujourd'hui, et profitent que cette année est le 25 anniversaire de l'assassinat de Guillem Agulló et Davide, je vous parlerai un peu sur l'extrême droite violente dans les terres valenciennes et ses victimes.
On peut dater l’origine de l'extrême droite valencienne actuelle à la période qui va des années 1976 jusqu'en 1981, au centre de le conflit identitaire connu par Batalla de València. Depuis ces années, nous voyons un secteur de la population valencienne qui n’accepte pas les idées qui ont surgi après la dictature franquiste, tels comme le communisme, l’anarchisme, ou un nationalisme approché à la Catalogne et les terres catalano-parlantes. En ce moment, les agressions physiques, l’intimidation, les menaces sont constantes, jusqu’au point de la tentative d'homicide de quelques intellectuels comme Joan Fuster, et Manuel Sanchis Guarner.
Cependant, la haine de quelques personnes intolérantes a fini avec la vie d’un jeune appelé Miquel Grau, dans la ville d’Alacant, au moment en qu’il était en train d’accrocher des affiches pour la célébration de la journée valencienne.
Quelques années plus tard, concrètement en 1993, après d’années de menaces, autres deux jeunes ont été assassinés par groups nazis, fascistes et racistes. Le premier était Guillem Agulló, un militant antifasciste et indépendantiste de la ville de Burjassot, et avec sa mort il est devenú un symbole de la lutte antifasciste. Uns moins plus tard de ces faits, l'extrême droite a tué Davide, qui était signalé par le journal “Las Provincias” comme un militant de gauche.
C’est un erreur penser que le nazisme, le fascisme ou la violence de haine sont éradiquées. Pendant de nombreuses années, la société valencienne a vu comme les menaces ont continué par groups comme les “Yomus” ou “España 2000”, et bien qu’il y avait nombreuses dénoncés et procès comme le cas Panzer, la justice n’a condamné aucun agresseur.

Au fin, je me questionne jusqu’à quand les valenciens et valenciennes permetrons que ces individus font ce qu’ils veulent avec la peur d’un peuple.
Guillem
Je n'étais pas du tout au courant de toutes ces agressions dans la communauté de Valence. L'extrême droite est un fléau dans tous les pays, car au delà du côté purement politique, les militants véhiculent des messages racistes, antisémites, islamophobes et parfois même homophobes qui devraient être réprimés durement. Car si la liberté d'expression est un droit précieux, les discours discriminants et dégradants ne devraient pas pour autant être autorisés. Et encore moins les menaces et les agressions !
RépondreSupprimer