Manifestation pacifique a été violemment réprimée par la police à Boké, en Guinée.



https://mosaiqueguinee.com/2018/02/23/guinee-amnesty-international-denonce-lusage-excessif-de-la-force-par-les-agents-de-securite-lors-des-manifestations-rapport-2017/

Cet article nous décrit ce qui s’est passé en Guinée lors d’une manifestation pacifique organisée par 
le  mouvement: “ la voix du peuple”. les manifestants réclamaient la réouverture des écoles et 
l’amélioration des conditions de vie difficiles dans la région de Boké.



La police a tiré à balles réelles pour disperser les manifestants causant la mort à dix-huit d’entre eux
 et provoquant des dizaines de blessés. Les forces de l’ordre ont aussi utilisé des gaz lacrymogènes
 et ont matraqué les manifestants. Il faut rajouter à tout cela que sept défenseurs des droits humains,
 membres du mouvement ( la voix du peuple) organisateur de  la manifestation, ont été interpellés
 par la police et que la mort des manifestants restent impunis.

En mon opinion, la répression de cette manifestation pacifique en Guinée a été exagérée. 
Ces manifestants ne faisaient  aucun mal en marchant pacifiquement et l’emploi de la force 
contre eux a été démesurée.

Deuxièmement: la mort des manifestants aux mains de la police constitue une grave atteinte à leur 
liberté d’expression. La police en tirant à balles réelles a provoqué des dizaines de blessés et à tué
 dix-huit manifestants. Il s’agit là d’une répression violente et injuste de la part des forces de l’ordre
 contre des citoyens innocents qui réclamaient seulement leur droits.

Troisièmement: En interpellant les sept défenseurs des droits humains, la police a réalisé des
arrestations injustes pour tenter de censurer les revendications des manifestants.

Quatrièmement: la mort des manifestants aux mains de la police durant la manifestation reste
 impunie. La justice doit être appliquée et les policiers coupables doivent être condamnés.
 On doit aussi juger ceux qui ont donné l’ordre de tirer. Ils doivent être jugés et condamnés pour
 ces décisions drastiques. On aurait pu utiliser d’autres façons moins violentes,
 pour contrôler les manifestants.

En conclusion la manière dont cette manifestation a été réprimée représente une grave atteinte
 aux droits humains et à la liberté d’expression.

Commentaires

  1. Les cas de manifestations violemment réprimées sont innombrables, et ce dans le monde entier. On pourrait penser que ce genre d'évènement n'arrive que dans des pays aux gouvernements autoritaires mais c'est entièrement faux.
    L'année dernière en France, beaucoup de français étaient en désaccord avec certaines décisions politiques et sont descendus dans la rue. On a alors assisté à une succession de violences gratuites de la part des CRS sur les manifestants. Certaines personnes ont été gravement blessées alors qu'elles ne faisaient que manifester de manière pacifique.
    Parfois, il y a trois fois plus de policiers que de manifestants... L'ONU s'est même révélé "préoccupé" par les violences policières en France.
    En France comme en Guinée, ces répressions sont bien évidemment une atteinte à nos libertés, et il est primordial de continuer à lutter pour pouvoir exprimer notre mécontentement.

    RépondreSupprimer
  2. le travail de la police est uniquement empêcher qu'il existe un problème.
    En ce cas-là, comme les manifestants ont fait une manifestation pacifiquement sans blesser personne, ils just demandent l'éducation... mais la police a ignoré l'aspect pacifique de la manifestation et le plus important c'est la cause de la manifestation " pour les écoles " pour l'education des gens,mais ils n'ont pas respecté la liberté.

    RépondreSupprimer
  3. Quand les polices vont aux manifestassions, ils ne pensent pas les motifs, sans penser dans les personnes qu'il y a dans le lieu, les polices tirent sans égard. Et cela montre un cas plus de censure à la liberté d'expression des manifestants.

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire